Pourquoi ?Les Journées du Patrimoine 2011 se dérouleront les 17 et 18 septembre 2011 sur le thème "Le voyage du patrimoine". L’occasion était trop tentante pour les Amis du 7, dynamiques animateurs de l’Hôtel MALETESTE, lieu traditionnellement ouvert aux cultures du monde depuis qu’Etienne MALETESTE y revint d’Italie avec peintures, sculptures, musiques… Les Amis du 7 accueilleront donc à l’Hôtel MALETESTE, à l’occasion des journées du Patrimoine, 25 journalistes ayant fait leurs premières armes à DIJON, pour partager leurs expériences, après s'être nourris des patrimoines du monde. Voir les photos des journées du patrimoine 2011 Quoi ?EXPOSITION TABLES RONDES DEDICACES, SIGNATURES PROJECTIONS “GILLES CARON REPORTER-PHOTOGRAPHE” D'ARGENTINE, "DE RAMEAU A PIAZZOLA" DU JAPON, CÉRÉMONIE DU THÉ
Avec qui ?Grands reporters, photographes, cinéastes, ils ont, en commun d'avoir débuté à l'école dijonnaise du Bien Public, des Dépêches, du Progrès de Lyon, de FR3 Dijon et peut-être d'autres médias dijonnais. Louis GERRIET, André FOUDRAZ, Bernard ANGELOT, Michel MAUERHAN avaient été leurs rédacteurs en chef…
Le programmeSAMEDI 14H00 Japon – Cérémonie du Thé Satoko MURAKAMI DIMANCHE 11H00 Japon – Cérémonie du Thé Satoko MURAKAMI
Le Voyage du Patrimoine sur Facebook Et en entrée permanente visite du lieu, exposition,... Entrée libre - Participation pour la soirée viajera.
EXPOSITIONDE JEAN-CLAUDE DELMASPhotos en noir et blanc au format 30x40. Jean-Claude DELMAS, né le 8 mars 1943 à DIJON Bourguignon de naissance avec des origines occitanes, un pied dans le pinot noir et l’autre dans le carignan ! Etudes dilettantes au Lycée Carnot de Dijon, marin dans la « Royale », parcourt mers et terres lointaines avant de revenir au port d’attache dijonnais déjà passionné par la photographie. Débute en 1964 sa carrière de journaliste, reporter-photographe au journal « Les Dépêches », véritable école de journalisme, pépinière de futurs talents de plumes et d’images. Couvre l’actualité dijonnaise et bourguignonne pendant dix ans, jour après jour, du chanoine Kir en passant par la mort du général de Gaulle, du long conflit social des « LIP » à Besançon à la révolte des prisonniers de la centrale de Clairvaux. Illustre les papiers talentueux de ses confrères rédacteurs dans tous les domaines du reportage. Accomplit ensuite une longue carrière de photojournalisme à l’AGENCE FRANCE PRESSE et REUTER’s pendant de nombreuses années, couvrant tous les coins de la planète : reportages politiques, religieux (les voyages du Pape Jean-Paul II), guerres (Guerre du LIBAN 1985, Guerre IRAK-IRAN en 1986) et conflits sociaux, grands événements sportifs internationaux, où alternent les drames et les espoirs, les grands de ce monde et les anonymes. La vie saisie constamment sur le vif avec un regard perçant et critique, préservant recul et humour.
EXPOSITION DE DANIEL CHERUBINToiles
« De la photo à la peinture »
Daniel Cherubin ne s'est pas mis à peindre mais à repeindre; il avait commencé à l'âge de 8 ans !! Il y a forcément un lien entre la photo (représentation du monde réel) et la peinture qui permet de s'évader dans le fantastique, le fictif ou l'illusoire. Quant à la relation de cette peinture avec le thème des journées, on peut dire que sa peinture est le fruit de voyages plus lointains que ceux qui conduisent aux frontières du monde physique...
Sa sensibilité et son attirance vers les gens lui ont permis d’assouvir sa passion grâce à l’image ; une réelle vocation et une volonté de capter l’instant présent et montrer la vie de tous les jours « autrement ». Sa soif d’innovation et de création (surimpression, effets spéciaux) a démontré qu’on peut travailler dans le symbole et donner une autre vision de l’information. 1967-1969 : Premières armes comme pigiste photographe au PROGRÈS DE LYON (édition de Côte d’Or). 1970-1972 : Reporter photographe à HEBDO 21 (Journal gratuit) et parallèlement, cameraman au Bureau Régional d’Information à l’ORTF de Dijon. 1972-2005 : Carrière au Bien Public. Il fait vite ses preuves au sein de la rédaction du journal et se voit confier la responsabilité du service photo en 1981.
Résurrection Passionné d’informatique il va créer un nouveau mode d’illustration, l’infographie, ce qui donnera aux statistiques et autres résultats électoraux un aspect moins rébarbatif. Tout naturellement, il va en 1995 lancer le service multimédia du journal avec la complicité de Jean Garreau, secrétaire général de la rédaction, ce qui va faire du Bien Public le deuxième quotidien français à posséder un site internet. Jusqu’en 2004 il va concevoir des sites pour des communes, des restaurants, et fera même un Cd Rom interactif sur la santé des bourguignons. Fin 2004 il retrouve avec plaisir les joies du photojournalisme et quitte définitivement le journal en 2005 pour créer sa propre entreprise multimédia (vidéo d’entreprise, sites internet etc…) Depuis 2008, il savoure avec bonheur sa retraite en retrouvant ses premières amours, la peinture qu’il avait abandonnée pendant 50 ans!
Sécheresse
TABLES RONDES
PATRICK MENEYDirecteur adjoint de la rédaction de France Soir Conférence débat - Samedi 17 septembre à 15h « L’évolution du monde de la presse » « La civilisation n'est pas l'affaire d'une minorité ni d'une élite. On ne la délègue pas à quelques milliers de juges, de policiers et aux hommes d'Etat. C'est notre histoire. Un combat de tous et de tout instant. » Originaire de Dijon. Diplômé universitaire de journalisme, Patrick Meney travaille, en 1972 à Nice Matin. Entré en 1973 à l’Agence France Presse à Dijon, il couvre toute l'affaire LIP avec Jean-Claude Delmas. 1974, il est nommé correspondant à Rome à l'époque des grands procès des Brigades rouges, de l’affaire Moro. Puis, ce sont les grands reportages : la Révolution iranienne, l'agonie de Tito, la prise des otages américains de Téhéran où il fut le seul journaliste occidental admis dans I’ambassade, Blessé en Iran, Patrick Meney rentre à Paris et est aussitôt nommé à Moscou. Au pays du non-événement, il tente l’expérience du reportage vérité. Ses observations détaillées sur la vie quotidienne forment la matière de la « Kleptocratie », panorama de la délinquance en U.R.S.S., paru en 1982 aux éditions de La Table Ronde. Son retour à Paris coïncide avec la disparition de Brejnev, parution de « Les Mains coupées de la Taïga ». A partir de 1983, Patrick Meney est à l’AFP à Paris, d'abord à la rédaction en chef pour l’étranger, puis à la tête du service vidéo. Il a reçu le Prix Albert Londres, récompensant le meilleur grand reporter de l’année, le 17 mai 1983. Patrick Meney fait ensuite carrière dans la télévision. De 1986 à 1990, il dirige l'Agence de presse Gamma TV, spécialisée dans les grands documentaires internationaux, puis il devient producteur et animateur à TF1, de 1990 à 1999, avant de créer sa propre société, Be Happy Productions, qui figure rapidement parmi les leaders du marché audiovisuel français, fournissant des émissions phares à TF1, France 2, France 3 et M6. Après avoir vendu sa société au Groupe RTL, il revient par passion à la presse écrite, en septembre 2010, en intégrant France-Soir, comme Directeur-adjoint de la Rédaction. D'autre part, il est l'auteur d'une dizaine de livres dont plusieurs bestsellers (La Rafale, Prix du livre de l'été, Même les tueurs ont une mère, Niet! Prix des maisons de la Presse...)"
YVES GACONDirecteur des bureaux de province de l’Agence France Presse Conférence débat – Samedi 17 septembre à 16h « Écrit versus Image dans la presse »
Bourguignon de Saône-et-Loire Yves Gacon a passé de nombreuses années à Dijon. D’abord à la faculté des lettres pour des études d’espagnol, avant de tenter l’aventure du journalisme. Il découvre le métier comme pigiste à la rédaction sportive des Dépêches, effectuant également pendant les vacances des remplacements à la « locale » ou à l’agence de Montbard. C’est dans ce journal qu’il a rencontré de nombreux participants de ce « voyage du patrimoine ». Il a fait ensuite toute sa carrière à l’Agence France-Presse, d’abord au bureau de Dijon (à l’époque place Darcy), puis à Paris dans différents services. Il a dirigé plusieurs bureaux de l’AFP à l’étranger, à Bogota et Rome. Il a passé une bonne partie de sa vie en Amérique latine, dirigeant depuis Montevideo les bureaux de la région Amérique latine de 1997 à 2004. Il est actuellement directeur des bureaux de province de l’AFP.
MICHEL DIARDVice-président du Conseil d’Administration de la SCAM. Doctorant en sciences de l'information et de la communication (Les travaux de sa thèse portent sur "Les stratégies des acteurs de contenus face aux mutations technologiques des industries culturelles: l'exemple du groupe Lagardère".)
Michel DIARD a effectué toutes ses études secondaires au lycée Carnot. Puis après un court passage dans l’enseignement, il est entré aux Dépêches en 1966, où des collègues attentionnés et patients lui ont appris le journalisme et les principes professionnels. En 1976, Michel Diard quitté les Dépêches pour la région parisienne où il a collaboré à la presse magazine sportive, à TF1 et, enfin, à la presse syndicale (La Vie ouvrière) comme responsable de la rubrique Culture. Il a concilié activité professionnelle et activité syndicale pendant 40 ans, avant de prendre sa retraite. Aujourd’hui, il conserve des activités dans une société de perception et répartition de droits d’auteurs, la Société civile des auteurs multimédia (SCAM), où il siège depuis 1991 à sa commission Journalistes, puis de 2003 à 2011 à son conseil d’administration, occupant entre autres les postes de vice-président et de trésorier. Il viendra parler d’un domaine qu’il connaît bien, pour le gérer, celui des auteurs en danger! DÉDICACES, SIGNATURES
MICHEL HUVETJournaliste, auteur “Mémoires d'un pisseur d'encre” Né à Dijon. Journaliste et écrivain réputé pour ses chroniques politiques et ses critiques culturelles. Son axe de rotation : Dijon et la Bourgogne. Au Bien Public, il crée le service culturel. Au Progrès-les Dépêches il dirige la rédaction durant sept ans puis, de retour au Bien Public, il est responsable du Progrès-Dimanche, chef de la rédaction locale, chef du service politique. Il intervient notamment au Centre de Formation des Journalistes (CFJ-rue du Louvre à Paris), puis à Sciences-Po Est-Europe, à Dijon. Président des Auteurs de Bourgogne de 1988 à 2008, il crée la Salon du Livre de Dijon. Il est lui-même auteur de nombreux ouvrages de littérature, de poésie, de théâtre, d’essais et de biographies. Il prépare actuellement la parution de mémoires, anecdotes et souvenirs de ses pérégrinations journalistiques, qu’il présentera à l’Hôtel Maleteste. Philosophe, amoureux des belles lettres, de la langue française, du théâtre et de la musique, Michel Huvet est officier des Arts et Lettres et membre non résidant de l’académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon. Outre la poursuite de son travail d’écriture, il est aujourd’hui responsable de la Communication pour l’archidiocèse de Dijon et rédacteur en chef d’Église en Côte-d’Or. On peut le retrouver sur son blog Dixit Michel Huvet (blogspot.com) : Bibliographie - La Côte-d’Or, essai (Editions de la Porte Verte, 1982)
MICHEL PUHLJournaliste, auteur Dimanche 18 septembre à 15h “Au fil du jazz. Bourgogne 1945 – 1980” Michel a été journaliste au Bien Public, Dijon, de 1969 à1977. Il a été responsable de l'information au Théâtre de Bourgogne (CDN) de 1977 à 1996. A partir de 1996 il a collaboré à plusieurs actions artistiques et culturelles et a repris parallèlement le chemin de la presse (le Bien Public - les Dépêches dimanche). Il a fait la jonction entre culture et journalisme avec les Cahiers d'art + université + culture et avec Tempo, trimestriel du Centre Régional du Jazz en Bourgogne. Michel Puhl vient de publier “Au fil du Jazz. Bourgogne 1945 - 1980” coédité par les Editions du Murmure et le Centre régional du jazz. Le bouquin, comme on s'inscrit dans le patrimoine. « Respirer l'air de la Paix enfin revenue donne des envies de plaisirs. Des amateurs - ils sont jeunes - sautent sur l'occasion pour exprimer tout le bien qu'ils pensent du jazz. Ils le propagent (vive le disque), ils le jouent. De leur côté des gens plus sérieux - des organisateurs de spectacles - comprennent qu'il faut aussi miser sur lui ; d'autant qu'ils peuvent compter sur des musiciens américains qui séjournent en Europe ou viennent le temps d'une tournée. Et on le danse ! Voilà des airs nouveaux que la Bourgogne entend. Pas encore partout mais patience. Car un mouvement plus vaste entraîne la vie culturelle régionale. Car des désirs artistiques prennent corps et ont raison des prudences, des méfiances, des défiances. Le jazz se trace des chemins hier impensables. Il en reste encore à fouler mais ces trente-cinq années sont déjà une suite de libérations. »
ET AUSSI...VINCENT LALUEditeur d’une dizaine de magazines Vincent Lalu a exercé un peu tous les métiers de la presse écrite, de localier à rédacteur en chef.
ERIC FEFERBERGPhotographe Originaire de Dijon, Eric Feferberg y fut formé à la photographie par son père.
MAIS ENCORE…Michel BLETRIX, Marie-Françoise BLETRIX, Paul CHAMOY, Gaston DESGRANGES, Gérard FERRAND, Hélios GRANDJEAN, Didier MANDRITCH, Charles MARQUES et Roger ODINOT.
ET PEUT-ÊTRE…Gérard CERLES, Robert CERLES, Gérard DESPRETZ, Brigitte DURIEUX, Pierre-Yves JULIEN, Jacqueline LALU et ceux qui le voudront…
ET AUSSI BIEN-SÛR, LA RELÈVE…Julia BLAGNY (Freelance), Jean-Marc CHARDON (Radio France), Marie-Laure CHARDON (Radio Shalom), Franck MAUERHAHN (Le Bien Public) et ceux qui le voudront… GILLES CARON, reporter photographe Samedi 17 septembre à 20h30 Gilles CARON est l'un des plus grands photographes du XXème siècle, à l'origine de l'agence GAMMA, auteur des plus belles photos de Mai 68, et de bien d'autres. Le coup d’œil de COHN BENDIT au CRS, c’était lui. MALRAUX à l’ARC de triomphe, DE GAULLE en ROUMANIE, lui aussi Avec quelques 102 000 autres !
Gilles CARON a disparu au Cambodge en 1970.
Présentation de ce partenariat avec Marianne Caron, Louis Bachelot au nom de la Fondation et Laurence Favier au nom des projets soutenus par la Région Bourgogne. Projection d'un film de 11 minutes "Gilles Caron Reporter Photographe" présenté au Festival Visa pour l'image de Perpignan en 2010.
PROJECTIONSA la demande et au choix ANNE BRAMARD-BLAGNY – AUTEUR-REALISATEUR Dans la lignée familiale, elle aurait dû être juriste ; mais bardée de ses diplômes, à 20 ans, elle change de cap, direction le journalisme et l’Amérique Latine. Entre la case du sorcier jivaro, la communauté des Andes, les enfants des rues de Bolivie ou du Brésil, elle sillonne les routes, les chemins et les fleuves, en rapportant écrits, photographies, films qui lui valent de nombreux prix. Mais surtout, elle revient aussi avec Julia, sa fille, qu’elle a choisi de faire naître dans le quartier indien de La Paz, pour lui donner des ailes, avant qu’elle ne se trouve ses propres racines. Mère et fille partiront à la découverte du monde, suivies par les équipes de télévision de France, et des pays traversés. Ainsi, de voyageur au long cours, Anne se transformera en auteur, réalisateur, producteur, directeur de collection, conférencier, professeur… 150 documentaires, des centaines et des centaines de conférences émailleront des années de rencontres, de partages…
JULIA BLAGNY – AUTEUR-REALISATEUR Titulaire d'un diplôme de réalisation documentaire de la Escuela Internacional de Ciné y Television, La Havane, Cuba. CÉRÉMONIE DU THÉpar Satoko Murakami Profitant d’un séjour à l’Hôtel Maleteste et souhaitant s’inscrire dans la thématique des Journées du Patrimoine 2011, Satoko a proposé d’initier les visiteurs qui le souhaiteront. Satoko Murakami est japonaise. Elle pratique depuis dix ans, de façon assidue, la cérémonie du thé, emblème du patrimoine culturel du Japon. La cérémonie du thé n’est pas seulement une tradition, c’est aussi une sorte d’esprit japonais qui influence la vie quotidienne de Satoko. Chanoyu (ce qu’on traduit souvent par « cérémonie du thé ») a été transmis pendant plus de 400 ans au Japon. Au début, la cérémonie du thé a été introduite de la Chine au Japon comme une habitude de boire des feuilles de thé en poudre mais avec le Rikyu, c’est devenu un art. Quelques gens pensent que Chanoyu est très difficile et formel. Mais Chanoyu est comme la communication humaine. Pendant la cérémonie du thé, il y a un échange entre l’hôte et les invités. Les personnes qui apprennent Chanoyu trouvent que chaque rendez-vous est une expérience unique dans leur vie. En Kimono elle fera goûter les thés dans le respect de la tradition nipponne.
DE RAMEAU A PIAZZOLA…en passant par Carolina Udoviko
Durant les 2 journées, initiation gratuite aux premiers pas … Samedi 17 septembre à 21h - VOYAGE DANS L'ESPACE (sur enregistrement) Un événement pour marquer les échanges entre l'Argentine et la France avec la musique du compositeur Piazzola, formé en France auprès de Nadia Boulanger. Astor Piazzola, nourri de la culture de Buenos Aires mais aussi de musique classique, était venu se former en France auprès de Nadia Boulanger qui le poussa à exploiter ses racines. Il proposa alors une nouvelle forme de tango. Carolina Udoviko, exceptionnelle danseuse et chorégraphe de tango, internationalement reconnue, élargit l'espace en donnant avec ses partenaires une danse pure dégagée des jeux de séduction du tango plus classique. Initiation et démonstration. LES ARTISTES Carolina Udoviko Danseuse, chorégraphe et professeur de tango argentin, Carolina Udoviko commence à enseigner le tango en 1998 et ouvre les portes de son premier studio dans le quartier Almagro de Buenos Aires puis au Brésil où elle crée Tango B’ Aires. Formée à l’école Panamericanad’art, elle travaille sur la création de spectacles innovants où elle mêle multimédia, danse tout en s’appuyant sur le guidage de l’homme transposé à la femme. Aujourd’hui, elle enseigne et donne des stages partout en France, notamment à Dijon, Montpellier et Poitiers, ainsi qu’au Brésil. Marina Gilabert Danseuse de tango, de folklore argentin et de danse contemporaine, Marina Gilabert travaille en alternance pour des chorégraphes contemporains et des créations de tango et folklore argentin. Son travail personnel s’oriente vers une fusion de ces différentes disciplines. Elle travaille actuellement pour les Compagnies Es Leucade, Cuero a Cuero, et Tango B’aires.
Danseuse classique contemporaine et tango. Elle travaille actuellement pour la Compagnie Tango B’aires. Elle a notamment participé à la création du Tango Baroque avec la compagnie « La Compagine des Violons de Roy » comme partenaire de Carolina Udoviko Trio Boyarsky Le Trio Boyarsky a été fondé en 2008 par Konstantin Boyarsky, Ben Baker et Amélia Jakobsson-Boyarsky. Depuis sa création, le trio a effectué de nombreuses tournées en Nouvelle-Zélande, au Royaume-Uni, en Suède, au Danemark ainsi qu’en France. Durant l’été de 2008, quelques mois seulement après la formation du groupe, le Trio Boyarsky est diffusé sur Radio France et Mezzo TV. Leurs concerts reçoivent des critiques élogieuses. En plus d’interpréter des oeuvres contemporaines, dont « Mosaïque Musicale » de Konstantin Boyarsky, le Trio possède un large répertoire allant de Haydn, Mozart, Beethoven à Henze, Schnittke, Gubaidulina et bien d’autres. Fils de Natasha et Alexander Boyarsky, Konstantin Boyarsky, altiste anglo-russe, est le premier alto du Royal Opera House à Londres. Il se produit dans de nombreaux concerts internationaux en tant que soliste et musicien de musique de chambre. Née en Suède, Amelia Jakobsson-Boyarsky est une violoncelliste et chanteuse aussi brillante que polyvalente. Elle est lauréate de nombreux concours et prix internationaux en Suède, au Danemark et au Canada. Originaire de Nouvelle-Zélande, Ben Baker est un violoniste exceptionnel qui étudie actuellement aux côtés de Natasha Boyarsky au Royaume-Uni. Il est lauréat de nombreux prix internationaux. Pour en savoir plus : Carolina Udoviko - CV de Carolina Udoviko - Trio Boyarsky Dimanche 18 septembre à partir de 15h - VOYAGE DANS LE TEMPS Aujourd'hui le tango voyage et s'ouvre en se nourrissant d'influences et de cultures diverses.
Chorégraphe du spectacle Barroco Tango de La Compagnie des Violons du Roy (Frédéric Martin), Carolina dansera avec Sandrine Anceau la Crucifixion de H. I. F. von Biber, une contredanse anglaise de J. Playford, une sonata de M. Uccellini... compositeurs du XVIIe siècle et aussi sur des notes du dijonnais Jean-Philippe RAMEAU.
avec Carolina Udoviko et Sandrine Anceau, danseuses
La Compagnie des Violons du Roy / Frédéric Martin, violon baroque et Stefano Intrieri, clavecin.
LES ARTISTESFrédéric Martin violon, lira da braccio, violino piccolo Né en 1960 dans la Loire, il a suivi ses études près de Lyon. Il s'est toujours intéressé à la musique du Moyen Age et de la Renaissance (vièle, lira da braccio, instruments à vent...) qu'il présente en concert dès 1969… Il se spécialise dans l'étude du violon baroque au Centre de Musique Ancienne de Genève auprès de Chiara Banchini et obtient le diplôme de concert et le diplôme de la Société Suisse de Pédagogie Musicale. Il a travaillé également durant cette même période à l'Institut des Musiques et Danses Anciennes de Paris avec Sigiswald Kuijken. Il obtient une licence de musicologie à l'Université de Lyon II. C’est au sein de La Compagnie des Violons du Roy qu’il travaille avec un ensemble vocal qu’il a créé pour expérimenter le travail sur la dynamique liée au mouvement dans les répertoires spécifiques et non spécifiques de la danse. Stefano Intrieri STEFANO INTRIERI Né à Milan, il obtient ses diplômes d'Orgue et de Clavecin avec distinction en Italie et se perfectionne en clavecin et musique de chambre auprès de Ton Koopman au Sweelinck-Conservatorium d'Amsterdam. Lauréat de plusieurs concours de musique de chambre, il a joué pour d'importantes institutions européennes, comme le Sheldonian Theatre d'Oxford, la Chapelle Royale de Versailles, le Grand-Théâtre de Reims, la Villa Medici, l'Ambassade de France à Istanbul, le Concertgebouw et le Stadsschouwburg d'Amsterdam, ainsi que les Festivals d'Ambronay, Norwich, Landshut, Dieppe, Thessaloniki, Utrecht, Istanbul et du Périgord Noir. Titulaire du Certificat d'Aptitude à l'enseignement de la musique ancienne, il enseigne actuellement au Conservatoire National de Région de Paris. Depuis 2000, il est animateur instrumental au Musée de la Musique de Paris. Il est le directeur musical du gruppo strumentale La Réjouissance qu'il a fondé en 1987. Dossier du spectacle - Les photos Pour en savoir plus : CV de Frédéric Martin - Stefano Intrieri Carolina Udoviko, Omar ForteDanseurs, Professeurs, Chorégraphes
Dans le domaine qui est le leur, Carolina Udoviko et Omar Forte sont des maîtres. A un niveau international. Leur prochaine création, "PINCELES HUMANOS", tango où les danseurs, aux jambes doublées de pinceaux adaptés, tracent au sol, les courbes de l'histoire qu'ils dansent, faisant de chaque morceau de musique une toile unique, pourrait avoir lieu à DIJON
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