Page 7 de 14 CHORÉGRAPHIESonate de Requiem pour violoncelle et piano
« La Sonate de Requiem a été écrite au début 1979 à la suite de la mort de ma mère. Elle m’a été dictée autant par la volonté de déplorer la perte d’un être cher que par celle de montrer que la mort ne marque pas la fin de la vie : elle est un des épisodes qui jalonnent l’évolution humaine. L’œuvre, en un mouvement joué sans interruption, décrit donc le voyage de l’âme jusqu’aux cités célestes, à travers les méandres des mondes intérieurs. [...] La dernière section de la sonate tente de décrire ce qui est indescriptible : le Paradis. Ici tout n’est qu’unité – unité de celui qui contemple avec la chose contemplée. » O. G.
Interprétation de Carolina Udoviko et Omar Forte sur la Sonate de requiem de Olivier Greif, depuis Buenos Aires, via Selfworld Retransmettre les émotions du danseur sur une musique poignante n'est pas chose facile, Carolina Udoviko se lance pourtant le défi et pour se faire elle part dans l'une des œuvres les plus dramatiques d'Olivier Greif; la Sonate de Requiem. Ce qui m’intéresse chez Greif c’est qu’il n’y a pas de rythmes définis ; on passe d’un rythme à un autre tant et si bien que l’on finit par ne plus savoir qui mène et qui est mené. C.U Carolina Udoviko Elle s’initie au Tango à Buenos Aires où elle fréquente assidument les Milongas Portenas traditionnelles où elle acquière toutes les connaissances du Tango Milonguero, du Tango salon, Valse et Milonga. Elle commence à enseigner le Tango dans son studio du quartier Almagro à Buenos Aires. Elle reçoit la médaille d’or du prix du Brésil Josué Quésada, donné à des personnes contribuant à la divulgation de la culture Argentine. Elle inaugure par la suite sa propre école de Tango, nommé « Tango B’ Aires ». Elle chorégraphiera aussi de nombreux spectacles.
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